Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
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mercredi 13 décembre 2017

Jérusalem, trois fois sainte/ Ed. Desclée de Brouwer

Ouaknin, Philippe Markiewicz et Mohammed Taleb, Jérusalem, trois fois sainte/ 

Ed. Desclée de Brouwer (***)

Publié le par Patrice Sabater
Jérusalem, trois fois sainte
Dans le contexte géopolitique actuel au Proche-Orient, les Editions Desclée de Brouwer présentent un livre publié en 2016, sur Jérusalem comme lieu du désir, espace convoité mettant régulièrement sur le devant de la scène un imaginaire toujours plus exacerbé les trois confessions monothéistes.
Dans cet ouvrage chacun des trois auteurs (Marc-Alain Ouakninrabbin et Docteur en philosophie – spécialiste d’Emmanuel LévinasPhilippe Markiewiczmoine bénédictin etMohammed Talebphilosophe algérien, spécialiste des questions relatives à l'environnement, de Droit des peuples et de spiritualité) expose son expérience personnelle de la Ville Sainte. L’expérience se veut concrète et fidèle aux textes de chacune des trois confessions. C’est
aussi, et cela n’étonnera personne, un regard à partir de sa foi en revenant aux racines spirituelles de ces lieux saints qu’ils revisitent. Ceux qui connaissent Jérusalem retrouveront des lieux, des sensations, des odeurs et l’écho de la prière qui monte vers Celui que chacun appelle par le Nom porté par sa Tradition. Trois regards pour une même ville tellement convoitée et disputée. Les auteurs ne sont pas, ici, en concurrence. Ce livre n’est pas un dialogue à proprement dit, mais il respire cette volonté de parler posément de ce qui fait vibrer au plus profond de son être spirituel, au creux de son humanité. Trois regards proposés au lecteur comme trois méditations à verser au titre du dialogue inter religieux. Quand on regarde ensemble vers un même, et que l’on essaye de porter plus haut son regard, il est inévitable que les sentiments se croisent et se renforcent en favorisant les lieux de dialogue pour la paix et la concorde ! « Tout ce qui monte converge », aimait dire le Jésuite Teilhard de Chardin. Ici, sans aucun doute, ce pari est réussi…

Marc Alain OuakninPhilippe Markiewicz et Mohammed Taleb n’abordent pas la dimension géopolitique liée à « la Ville Trois fois sainte ». D’autres ouvrages traitent savamment de ce sujet. Le sujet du livre est résolument plus spirituel. Le lecteur sera souvent entraîné dans les profondeurs des veines d’une cité qui porte en elle-même la profondeur des cris, des pleurs, des prières et des espoirs de deux peuples et de trois religions. On est pris aux tripes par certains mots, par certaines explications éclairantes. On est touché et bouleversé… par l’Autre. Les témoignages ont cette fonction de toucher celui qui acceptent d’entrer dans le mouvement d’altérité pour ne pas se cantonner à sa propre réalité spirituelle et à sa propre histoire. Le FrèrePhilippe Markiewicz évoque avec raison « nos racines » au cœur de « la pierre omniprésente dans tous les quartiers de la ville ancienne et moderne… Qu’a-t-elle de particulier, cette pierre, pour s’imposer ainsi à mon regard et à ma mémoire comme le signe de Jérusalem ? »Jérusalem perçut et nommée par la Bible et les chrétiens comme une mère… « Sion, notre Mère » (Ps 86,5) ne se laisse approcher que parce que le croyant apprend à marcher et à construire sa propre intériorité, sa propre demeure intérieure. Un temple nouveau est à construire qui nous plonge dans la Jérusalem physique, mais nous entraîne aussi dans cette Jérusalem céleste à laquelle chaque croyant est appelé à rejoindre un jour…, au dernier Jour. Marc Alain Ouaknin, quant à lui, nous dit que « Jérusalem nous arrache à l’existence ordinaire et nous porte vers un ailleurs, une autre manière d’être et de vivre… ». Des pierres, il est aussi question sur ces nombreux cimetières de Jérusalem, surtout ceux qui sont en attente du Messie sur le Mont des Oliviers Des pierres qui marquent un passage, une présence…, qui peuvent aussi être celles qui nomment ce terrible épisode qu’a vécu l’Humanité, et que fut la Shoah… Des pierres d’attente. Elles peuvent être aussi des pierres servant bien à autre chose au cœur de Yerouchalayim. Pour sa part, Mohammed Taleb nous rappelle la portée spirituelle pour l’Islam de la Ville Sainte :Al-Quds. « Ce à quoi j’aspire, dit-il au lecteur, à travers les pages qui suivent, c’est de mettre en pleine lumière l’islamité et l’arabité de la cité des prophètes, sa présence dans les lettres spirituelles de l’islam, sa radiance comme pôle de sacralité et d’excellence ». Elle est la troisième ville de l’Islam après La Mecque et Médine en raison de la venue d’Abraham sur leMont Moriah et du sacrifice qui est célébré. En raison également de la venue de Mohammed et de sa montée dans les Cieux… Al-Quds est aussi le « lieu d’orientation de la première prière musulmane ». Et, cela nous étonnera sans doute que ce philosophe musulman puisse aborder la figure de Jésus, tel que le Coran le perçoit et le place au cœur de « l’eschatologie islamique », comme « un signe de la fin des Temps ». (pp 193-199).
Le livre ne donne aucune conclusion à cet ouvrage, et peut-être faut-il revenir à l’Avertissementdu début de cet ouvrage pour retenir l’essentiel pour nous faire vibrer intérieurement pour ce qui pourrait être pour le Monde d’aujourd’hui une Annonciation, un Appel à lancer à ces deux Peuples et à ces trois religions de préserver cette Ville et de nous la donner concrètement et réellement comme un lieu d’espérance et de paix sur cette terre d’Orient. Le voulons-nous vraiment ? « Grâce à cet ensemble, les lecteurs pourront mieux saisir la complexité des couches spirituelles de cette ville dont la lumière reste un exceptionnel stimulant pour l’Esprit ». (p 7)
P. Patrice Sabater, cm
8 décembre 2017

Marc-Alain Ouaknin, Philippe Markiewicz et Mohammed Taleb, Jérusalem, trois fois 

http://www.chretiensdorient.com/2017/12/recension-du-livre-de-marc-alain-ouaknin-philippe-markiewicz-et-mohammed-taleb-jerusalem-trois-fois-sainte/ed.desclee-de-brouwer.htm?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail

mardi 21 novembre 2017

Ismaël contre Israël Le conflit israélo-arabe depuis ses origines

 le par Patrice Sabater
Ismaël contre Israël
Le conflit israélo-arabe depuis ses origines

La diversité et la complexité des situations au Proche-Orient, et tout particulièrement en Israël, ramènent sans cesse à la question de ce conflit qui ne trouve pas d’issue. La « question palestinienne », et plus récemment le conflit israélo-palestinien, pose de façon récurrente la problématique de « la terre » pour ces deux peuples et ces trois religions. La question ne date pas d’hier. Pour comprendre cet « Orient (si) compliqué » ne faudrait-il pas croiser ces niveaux de lectures pour répondre à cette question ?

Esther BENFREDJ s’y attache en présentant un opus solidement documenté. Une para-critique abondante, des cartes, un glossaire permettent au lecteur de se situer dans le temps et dans l’espace.

L’auteur qui vit au Canada depuis quelques années s’adresse tout particulièrement aux Québécois souverainistes en regrettant leurs prises de position en faveur des Palestiniens, et en critiquant donc la politique intérieure de l’Etat d’Israël. La comparaison et les proximités qui semblent sous tendre sont sans doute un peu hardies ! Le titre du livre porte en lui-même une question, voire une interrogation fondamentale : dans le conflit israélo-palestinien, est-on devant un affrontement bipolaire entre deux peuples ? Entre deux religions ? Le titre semble conférer ce conflit à la seule réalité religieuse entre musulmans et juifs. Le conflit israélo-palestinien est certes bien ancré dans une dimension binaire inconciliable aujourd’hui... Il existe, faut-il le répéter, un troisième acteur permanent dans le conflit,  qui est à percevoir comme un véritable partenaire : le chrétien. Ce conflit pose de façon récurrente la problématique de l’appartenance à une terre pour deux peuples et pour trois religions ! On ne saurait enfermer ce conflit dans une dualité et la seule référence à deux religions. On ne peut considérer le chrétien dehors du Peuple palestinien, mais on ne peut pas non plus l’inclure comme adhérant à la foi musulmane ! Alors, où est donc sa place ? Cette place si singulière ?

L’ouvrage si argumenté soit-il n’offre pas une lecture neutre des faits mais adopte une position bienveillante à l’égard d’Israël. La préface signée de Shmuel TRIGANO adopte la même pente en enfonçant le clou là où se situe le débat depuis 1948. Nous sommes ici dans la posture. Selon l’universitaire de Nanterre, cet ouvrage « constitue de façon objective la généalogie du conflit au Proche-Orient ». Les termes employés dans les premières phrases de la préface sont forts. Il s’agira, ici, de « redécouvrir (dit-il) cette histoire (qui) malmène dans ses tréfonds les conventions ».

Le livre ne manque pas de pertinence. Il souligne, assurément, des vérités incontournables qu’il est nécessaire de prendre en compte. Néanmoins, on aurait préféré davantage de neutralité ou de distance… pour présenter les faits. Ils sont souvent têtus, et demandent effectivement une bonne part de distanciation. Le dossier est ici, en grande partie, à charge… Esther BENFREDJdénonce la lecture communément admise qu’Israël est « étranger » à cette « arabe ». Cela relèverait, selon elle, du mythe. Comment alors comprendre que ces mythes fondateurs puissent être décisifs dans la recomposition d’un paysage politique ? Comment lire les imaginaires qui sont attachés à cette Terre ? Selon l’auteur, les fondateurs de l’Etat d’Israël ne sont pas venus spolier les propriétaires palestiniens, et encore moins un Etat arabo-palestinien légitimement constitué. Israël serait-il alors ce lieu « donné » par l’Occident à tous ces juifs marqués par la Shoah comme manifestation d’un regret ou de remords pour ne pas avoir parlé, pour ne pas avoir su les protéger et les défendre ? La Création de l’Etat d’Israël, sous couvert de promesses des uns et des autres et de la volonté de mettre en exergue un mythe national juif, est-elle une réponse à Auschwitz ? Cette tragédie instrumentalisée solde-t-elle les comptes du deuxième conflit mondial ? La percée de l’idéologie sioniste fait éclore le nationalisme palestinien et le besoin de relire son Histoire marquée par le drame de la Nakba (1948). Le sionisme de Théodore Herzl infligerait-il à l’Occident l’obligation de se constituer à la fois témoin, protagoniste fautif et coupable de ce qui s’est passé entre les deux grandes guerres mondiales ? Et une fois encore, Shmuel TRIGANO vient marquer de son autorité que « l’Etat d’Israël est aussi « ancien » que les Etats arabes. Il est né de la même tourmente, de la même histoire, aussi légitime et légal qu’eux, peuple en majorité par des Juifs originaires de ce monde-là, qui s’y sont regroupés dans le cadre d’un grand échange de population… ». Et de dire encore : « Quand on voit, par exemple, dans la création de l’Etat d’Israël une forme de compensation de la Shoah (que l’Occident aurait injustement fait « payer » à des Palestiniens innocents), on méconnait l’histoire juive et, en l’occurrence, l’histoire de monde arabo-musulman (où vivait la majorité de la population du nouvel Etat d’Israël) qui, par ailleurs, ne ressemble en rien à la version « post-colonialiste » complaisante que l’on voudrait accrédite  occidentaleQuand on ne se focalise plus sur la perspective occidentale, l’état des choses originel s’impose… ».

Le conflit israélo-palestinien ne fait que raviver cette quête de sens, cette volonté de demeurer là où l’Histoire ou les histoires ont mis chacun d’entre eux, juifs ou palestiniens.

Cet essai ne peut laisser le lecteur insensible. Sa lecture sera facilitée si l’on tient pour vraie et définitive la thèse proposée ici. Dans le cas contraire, il nourrira sans doute plus de crispation. Chacun au terme de ces 251 pages se fera une idée du fondé de ce qui est proposé par l’auteur. La discussion est irrémédiablement ouverte…

Patrice Sabater, cm
Novembre 2017


Esther BENFREDJIsmaël contre Israël. Le conflit israélo-arabe depuis ses originesEd. DDB, Paris 2017. 251 pages. 18,90 €
http://www.chretiensdorient.com/2017/11/recension-du-livre-ismael-contre-israel-le-conflit-israelo-arabe-depuis-ses-origines-editions-ddb.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_push

mercredi 15 juin 2016

Recension - Chrétiens du Proche-Orient / Christian Lochon » Chrétiens de la Méditerranée

Recension - Chrétiens du Proche-Orient / Christian Lochon » Chrétiens de la Méditerranée

Chrétiens de la Méditerranée

Titre : Chrétiens du Proche-Orient
Sous-titre : Grandeur et malheurs
Auteur : Christian Lochon ; av.-propos de Mgr Pascal Gollnisch ; préf. de Sobhi Habchi
Editeur : Paris : Librairie d'Amérique et d'Orient, Jean Maisonneuve, avril 2016
168 p.- 20 €
Les tragiques épreuves que subissent, avec d'autres minorités confessionnelles, les chrétiens des pays d'Orient ont suscité depuis quelques années de nombreuses publications de qualité[1], qui nous permettent de mieux connaître leur histoire et leur culture. Parmi ces ouvrages, il faut désormais compter celui que Christian Lochon[2]  vient de consacrer aux Chrétiens du Proche-Orient.
Ayant  vécu en Iran et en Irak, au Soudan et en Syrie, en Egypte, bon connaisseur du Liban, ancien administrateur de L'Œuvre d'Orient[3], Christian Lochon connaît les hommes et les lieux dont il parle et qui lui tiennent profondément à cœur. Son ouvrage est dense. C'est à la fois un « précis », sur l'histoire, la culture, la situation sociale des diverses confessions chrétiennes au Proche-Orient ; une description des liens que l'histoire longue de cette partie du monde entretient avec les drames actuels ; et une réflexion sur les conditions d'un vivre ensemble et d'une citoyenneté sur ces terres.
Christian Lochon présente dans son ouvrage un ensemble d'analyses, par pays, de la situation des chrétiens du Proche-Orient (en y associant l'Iran), qui sont à la fois synthétiques et précises. Brossant à chaque fois un rappel des évolutions historiques, il nous offre des pages très denses sur le rôle des chrétiens dans les sociétés arabes ; leur contribution à la construction de leurs Etats et de leurs sociétés, en particulier au 19ème et au 20ème siècles ; et sur l'ensemble des discriminations qu'ils ont dû subir au fil du temps, avant les drames les plus récents, en Irak, obligeant nombre d'entre eux à fuir pour sauver leur vie.
On retiendra en particulier la lecture, à la fois érudite et éclairante, qu'il fait de l'histoire des « Capitulations » – c'est-à-dire des chapitres du traité – conclues entre François 1er et le Sultan Soliman, de leur rôle durable dans les relations franco-ottomanes, et pour la présence du français et de la France dans cette partie du monde. On lira également l'étonnante succession d'évènements qui ont fait échoir pendant 4 siècles à la France l'évêché latin de Bagdad, et le lien que cela entretient avec la dénomination d'une rue et d'un quartier du 7ème arrondissement de Paris (pp. 89 à 94).
Le chapitre 8 du livre nous offre une description détaillée des effets désastreux des offensives de l'Etat islamique sur le patrimoine culturel, et notamment chrétien, en Irak et en Syrie. Mais l'auteur s'interroge aussi sur les conditions qui pourraient permettre à l'avenir, une fois interrompue la spirale de l'intolérance et de la violence, que les minorités religieuses – et parmi elles les chrétiens – puissent habiter en paix ces terres qui sont le berceau de leur histoire, et qu'elles ont tant contribué à façonner. « Leur culture est devenue la nôtre » rappelle-t-il (p. 62), et « notre liberté doit devenir la leur ». Cela passera nécessairement par l'instauration, dans ces Etats, d'une citoyenneté pérenne, indépendante de la confession religieuse.
Et dans cette attente,  C. Lochon nous rappelle l'exigence, pour ceux qui ont dû fuir leur terre, d'un soutien déterminé qui leur permette de survivre dans des conditions sécurisées et de scolariser leurs enfants.
Bertrand Wallon
[1] Citons parmi ces livres :
Chrétiens d'Orient : ombres et lumières. Carnets de voyages/ Pascal Maguesyan.-  Thaddée, 2013 :   http://www.chretiensdelamediterranee.com/livre/recension-chretiens-dorient-de-pascal-maguesyan/
Géopolitique des chrétiens d'Orient/Antoine Fleyfel.- L'Harmattan, 2013 :
http://www.chretiensdelamediterranee.com/livre/recension-geopolitique-des-chretiens-dorient-dantoine-fleyfel/
Les chrétiens de Mésopotamie/Ephrem Ysa Yousif.- L'Harmattan, 2014 :
http://www.chretiensdelamediterranee.com/recension-les-chretiens-de-mesopotamie-par-ephrem-ysa-yousif/
Orientaux chrétiens : quelle issue ? /sous la dir. de Philippe Capelle-Dumont.- Cerf, 2014 : http://www.chretiensdelamediterranee.com/livre/recension-orientaux-chretiens-quelle-issue-textes-reunis-et-presentes-par-philippe-capelle-dumont/
Les hommes en trop La malédiction des chrétiens d'Orient /Jean-François Colosimo.-Fayard, 2014 : http://www.chretiensdelamediterranee.com/livre/recension-les-hommes-en-trop-de-jean-francois-colosimo/
Qui s'en souviendra ? 1915 : le génocide assyro-chaldéo-syriaque/Joseph Yacoub.- Cerf, 2014 :
http://www.chretiensdelamediterranee.com/livre/recension-qui-sen-souviendra-de-joseph-yacoub/
« Ne nous oubliez pas ! » : le S.O.S. du patriarche des chrétiens d'Irak/Mgr Louis-Raphaël Sako.-Bayard, 2015
http://www.chretiensdelamediterranee.com/recension-ne-nous-oubliez-pas-mgr-louis-raphael-sako/
Entretiens sur l'Orient chrétien/fr. Jean-Marie Mérigoux.- La Thune, 2015 : http://www.chretiensdelamediterranee.com/livre/recension-entretiens-sur-lorient-chretien-frere-jean-marie-merigoux-o-p/
Sur les fleuves de Babylone, nous pleurions : le crépuscule des chrétiens d'Orient/Sébastien de Courtois, Stock, 2015 / http://www.chretiensdelamediterranee.com/livre/recension-sur-les-fleuves-de-babylone-nous-pleurions-sebastien-de-courtois/
La vocation des chrétiens d'Orient /Marie-Hélène Robert et Michel Younès (éd.).- Karthala, 2015 :
http://www.chretiensdelamediterranee.com/livre/recension-la-vocation-des-chretiens-dorient-marie-helene-robert-et-michel-younes/
Chrétiens d'Orient : résister sur notre terre/Mgr Pascal Gollnisch.- Cherche Midi, 2016 :
https://www.cherche-midi.com/livres/chretiens-d-orient  (recension à paraître sur le site de CDM).
[2] Spécialiste de langue arabe, ancien directeur du centre culturel français de Bagdad, puis attaché culturel à Khartoum et Damas, Christian Lochon a également exercé des responsabilités universitaires et est l'auteur de nombreuses publications. Il est membre de l'Académie des sciences d'Outre-mer, et du Conseil d'administration de Chrétiens de la Méditerranée.
[3] Voir le site : http://www.oeuvre-orient.fr/site-web/lassociation/nos-missions/?gclid=CjwKEAjwkPS6BRD2ioKR7K245jASJAD1ZqHOrswvvUSJx5FNcGDVSvHuwEJSzA9Nm68RhX-kfPOZexoCqgfw_wcB


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