Arabes du Christ


" الهجرة المسيحية تحمل رسالة غير مباشرة للعالم بأن الإسلام لا يتقبل الآخر ولا يتعايش مع الآخر...مما ينعكس سلباً على الوجود الإسلامي في العالم، ولذلك فإن من مصلحة المسلمين، من أجل صورة الإسلام في العالم ان .... يحافظوا على الوجود المسيحي في العالم العربي وأن يحموه بجفون عيونهم، ...لأن ذلك هو حق من حقوقهم كمواطنين وكسابقين للمسلمين في هذه المنطقة." د. محمد السماك
L'emigration chretienne porte au monde un message indirecte :l'Islam ne tolere pas autrui et ne coexiste pas avec lui...ce qui se reflete negativement sur l'existence islamique dans le monde.Pour l'interet et l'image de l'Islam dans le monde, les musulmans doivent soigneusement proteger l'existence des chretiens dans le monde musulman.C'est leur droit ..(Dr.Md. Sammak)
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samedi 19 octobre 2013

Abbas Ibrahim affirme que les évêques enlevés en Syrie vont bien


olj.com | 19/10/2013 | 10h16
Le directeur général de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, a affirmé samedi que les deux évêques enlevés en Syrie se portaient bien, soulignant  qu’il déployait tous les efforts nécessaires en vue de leur libération.

Le général Ibrahim, qui se trouve à Istanbul pour accueillir les neuf pèlerins libanais libérés la veille, a indiqué à la chaine LBC que son récent voyage en Belgique était lié à ce dossier.
Les évêques Boulos Yazigi (grec-orthodoxe) et Youhanna Ibrahim (syrien-orthodoxe) ont été enlevés il y a plusieurs mois en Syrie. Aucune nouvelle concernant leur sort n’a filtré depuis.

mercredi 5 juin 2013

Les contacts se poursuivent pour la libération des deux évêques, assure le patriarche d’Antioche

Le patriarche d’Antioche et des Églises d’Orient, Mgr Youhanna Yazigi, a exprimé hier son souhait de voir les deux évêques disparus en Syrie, Mgr Boulos Yazigi et Youhanna Ibrahim, prochainement libérés. Le prélat grec-orthodoxe, qui vient de rentrer au Liban en provenance de Turquie, a souhaité une solution de la crise syrienne par le biais du dialogue et de l’entente et non par la violence.

Interrogé à son arrivée à l’aéroport de Beyrouth, Mgr Yazigi a déclaré devant la presse que les contacts concernant les évêques portés disparus « se poursuivent sans cesse, que ce soit de notre part ou de la part du patriarche œcuménique à Istanbul, qui communique avec toutes les parties et les responsables ».

Prié de dire s’il a reçu des assurances au sujet de la libération des otages, il a répondu : « C’est ce qu’on nous affirme. »
À la question de savoir s’il a demandé aux autorités turques de poursuivre les contacts nécessaires pour hâter leur libération, il a répondu : « Bien sûr. Comme je l’ai déjà mentionné, nous sommes constamment en relation avec l’ensemble des parties concernées. Le patriarche œcuménique à Istanbul est en contact permanent avec les parties à tous les niveaux et œuvre en vue de la libération de tous les otages et non seulement des deux évêques. »
Mgr Yazigi a ajouté avoir également évoqué lors de son voyage la situation dans la région et les possibilités de paix en Syrie et au Liban, « où doivent prévaloir le dialogue et la coexistence entre tous ».
 L'Orient Le Jour 5-6- 2013

mercredi 24 avril 2013

Confusion autour du sort des deux évêques enlevés en Syrie


Objet: Confusion autour du sort des deux évêques enlevés en Syrie

Confusion autour du sort des deux évêques enlevés en Syrie
Des informations contradictoires circulent autour de la libération de Mgr Youhanna Ibrahim et Mgr Boulos Yazigi, enlevés lundi 22 avril non loin d'Alep, et qui seraient toujours aux mains de leurs ravisseurs


La Croix - 24/4/13

Une certaine confusion entourait, dans la matinée du mercredi 24 avril, le sort des deux évêques syriens enlevés deux jours plus tôt non loin d'Alep (nord-ouest du pays). Le diocèse grec-orthodoxe de cette ville était toujours sans nouvelles ce 24 avril des deux évêques enlevés, a affirmé un prêtre diocésain : « Nous n'avons pas de nouvelles informations. Nous ne pouvons pas dire qu'ils ont été libérés », souligne le P. Ghassan Ward.

« Nous n'avons eu aucun contact avec Mgr Youhanna Ibrahim, évêque syriaque orthodoxe d'Alep, et Mgr Boulos Yazigi, évêque grec-orthodoxe de la même ville, a-t-il poursuivi, indiquant que les efforts pour leur libération se poursuivaient. Quelques heures plus tôt, un tweet provenant d'un compte présenté comme celui du diocèse orthodoxe d'Alep confirmait la captivité des deux hommes.

Pourtant, la veille, dans l'après-midi du mardi 23 avril, une source locale relayée par l'Œuvre d'Orient annonçait au conditionnel la libération de deux évêques enlevés le 22 avril dans le village de Kafr Dael, dans le nord-ouest de la Syrie. Les deux hommes auraient été libérés « grâce à des appuis internationaux » et se trouvaient le 23 avril à l'église grec-orthodoxe Saint-Elie d'Alep. Une information également confirmée par l'agence Reuters via ses propres sources, ou le site du journal catholique britannique The Tablet.

INFORMATIONS CONTRADICTOIRES
Mais dans la soirée du 23 avril, un communiqué conjoint signé du patriarche grec-orthodoxe d'Antioche et du patriarche syrien orthodoxe d'Antioche est publié, sans qu'il soit fait mention d'une quelconque libération : «  Nous nous adressons en dernier lieu aux ravisseurs pour leur dire que les personnes qui ont été enlevées sont des émissaires d'amour dans le monde, dont témoigne pour eux leur action religieuse, sociale et nationale, soulignent-ils. Par conséquent, nous les invitons à traiter cet événement douloureux loin de toute crispation qui ne peut servir en fin de compte, que les ennemis de la patrie ».

Dans la matinée du 24 avril, des nouvelles contradictoires circulaient autour de cet enlèvement : « Hier soir, une information du Patriarcat grec-orthodoxe nous est parvenue, mettant en doute la libération des deux évêques », a précisé Catherine Baumont, responsable de la communication de l'Œuvre d'Orient, qui avait fait part la veille de la libération des deux hommes. « Aucune preuve tangible de la libération n'a pu hélas être obtenue. La situation reste confuse, et on ne sait toujours pas par qui ils ont été enlevés. »

Mgr Jean Clément Jeanbart, archevêque grec-melkite d'Alep, a démenti lui aussi auprès de l'agence Asianews, la nouvelle de leur remise en liberté : « Jusqu'à cette nuit, les deux hommes étaient toujours prisonniers ».

Cette confusion illustre le chaos qui règne en Syrie, et la difficulté d'obtenir des informations fiables et avérées sur l'évolution du conflit, et sur la nature des enlèvements qui y sont perpétrés.

L'IDENTITÉ DES RAVISSEURS INCONNUE
Selon plusieurs sources, les deux évêques étaient en train de mener des négociations pour la libération des P. Michel Kayyal et Maher Mahfouz, enlevés samedi 9 février sur la route conduisant d'Alep à Damas, lorsqu'ils ont été eux-mêmes capturés. L'annonce de leur enlèvement a suscité un émoi d'autant plus vif que Mgr Paul Yazigi n'est autre que le frère cadet du patriarche Jean X, élu en décembre 2012 à la tête du Patriarcat orthodoxe d'Antioche.

D'après certains spécialistes, les deux évêques peuvent avoir été enlevés par des rebelles syriens ou par des combattants étrangers ; mais cela pourrait bien être un acte crapuleux. Mardi 23 avril, l'opposition syrienne a même accusé Damas d'être derrière le rapt. Selon l'analyse de Carol Saba, avocat franco libanais proche du patriarche orthodoxe Jean X d'Antioche, « ce douloureux enlèvement constitue un tournant dans la crise syrienne ». Soulignant « l'urgence de mettre un terme à cette descente aux enfers », le communiqué des deux Églises exprime à ses yeux « un appel pressant adressé aux partenaires musulmans pour agir ensemble comme concitoyens, afin de dépasser les divisions communautaires. » Hier, après sa catéchèse hebdomadaire à Rome, le pape François a lui aussi prié « pour que les deux évêques retrouvent au plus tôt leurs communautés », appelant à « une solution politique à la crise syrienne ».

Le pape François a demandé mercredi 24 avril la libération des deux évêques enlevés, exigeant que « le sang cesse d'être versé » et qu' « une solution soit trouvée au plus vite à la crise » dans ce pays. Lors de l'audience générale sur la place Saint-Pierre, devant 100 000 personnes, le pape a prié pour que les évêques « reviennent vite dans leurs communautés ».


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Syrie: passage des métropolites d'Alep d'un groupe à l'autre?


Démentie la nouvelle de la libération
Anita Bourdin
ROME, 24 avril 2013 (Zenit.org) - Les nouvelles diffusées cet après-midi de la libération des deux métropolites orthodoxes d'Alep reçoit ce soir un démenti.
Selon une source proche des éparchies orthodoxes, la nouvelle de la libération annoncée de source syriaque "est partie à un moment positif des tractations". Mais elles ont pris ensuite un tour moins positif. On parlerait maintenant d'un "passage des otages d'un groupe à l'autre", avec des exigences plus dures.
Les guillemets et le conditionnel ne sont pas inutiles, les nouvelles venant d'une zone balayée par différents groupes, parfois difficiles à identifier.
Au moment où nous mettions cette nouvelle en ligne nous apprenons que les deux patriarches des Eglises orthodoxes ont lancé un appel en faveur des deux métropolites, ce qui confirme qu'ils n''ont pas rejoint leurs communautés (http://www.balamandmonastery.org.lb/index.php/news/344-bayan-apr-23).
Il s'agit du métropolite d'Alep pour les Grecs orthodoxes, Mgr Boulos (Paul) Yazigi, et du métropolite d'Alep pour les Syriaques orthodoxes, Mgr Gregorios Youhanna Ibrahim.
Mgr Ibrahim s'était rendu en voiture dans une zone tenue par les rebelles pour ramener Mgr Yazigi.
Leur voiture a été interceptée dans les environs d'Alep, par un groupe armé qui les a enlevés et tué le chauffeur.
Le pape François a lancé un appel ce mardi matin poru leur libération, pour uen solution à la crise humanitaire, un engagement pour la paix et la réconciliation en Syrie.